C’est impossible à estimer, cela dépend du type et de la quantité de médias en diffusion sur les écrans. Dans tous les cas, zebrix utilise des formats compressés et optimisés, tant pour la vidéo que pour les images, ce qui limite l’utilisation de la bande passante. A ces médias, s’ajoutent des flux de pilotage à distance des écrans, qui ne représente quelques Mo par jours, tout au plus.
Les écrans SSSP tout comme les boitiers NUC disposent d’un mécanisme veillant à ne pas re-télécharger les mêmes médias. Ils stockent les vidéos dans un stockage interne (type mémoire FLASH pour l’écran, disque SSD pour le nuc) lors de la toute première diffusion. Le média une fois stocké une première fois, n’est plus jamais retéléchargé les fois suivantes afin de préserver la bande passante.
1 Mbit/s par écran est recommandé. Toutefois, une bande passante rapide permet un transfert plus rapide des médias. Une bande passante plus faible peut être satisfaisant également, tout dépend l'usage.
Une bande passante très faible (< 512 kbit/s) peut entraîner des instabilités de connexions.
Par défaut le chargement du contenu est réalisé lorsque les écrans en ont besoin, c'est à dire généralement lors du démarrage de la première lecture des contenus, lors de l’installation d’un nouvel écran dans un magasin ou lorsqu’un nouveau contenu est chargé sur zebrix et planifié pour diffusion pour la première fois sur les écrans.
Une fonctionnalité de « préchargement des médias » est également disponible (rubrique “paramètres” de zebrix) afin que les médias puissent être téléchargés à l’avance à une heure nocturne convenue.